Note [30]
Prestigieux chirurgien du xxe s., Henri Mondor s’offusquait donc amèrement du dédain malicieux (mais inconstant) dont Guy Patin avait accablé ses confrères de Saint-Côme au xviie s. Certaines haines savent être mesquines et anachroniques…
Mondor levait ici un lièvre que j’ai couru bien plus assidûment que lui, jusqu’à proposer de reconnaître Patin et deux de ses collègues derrière les personnages du Malade imaginaire (v. Thomas Diafoirus et sa thèse).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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