À Charles Spon, le 4 février 1650
Note [36]
« et le voici à ce point soulagé qu’on juge que quelque dieu lui a prodigué sa médecine, et il aura bientôt cessé d’être essoufflé. »
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.