À Charles Spon, le 30 novembre 1655
Note [37]
« et qu’il ne contracte quelque putréfaction en sa substance propre ; ainsi marche-t-on à grands pas vers le repos éternel. »
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.