À Charles Spon, le 18 janvier 1644
Note [38]
« qui fut le tyran empirique le plus cruel en l’art de régner, et vraiment un vaurien de la politique. Misérable et insensé pillard des Français, il s’était seul évertué à s’enrichir certainement par tous les moyens, bons comme mauvais [de façon licite comme illicite] ; lui qui n’exerçait pas tant l’art de diriger que celui de tromper les hommes. » Guy Patin empruntait à Jean-Pierre Camus, évêque de Belley, la fin de sa diatribe contre Richelieu.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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