À Claude II Belin, le 28 août 1635
Note [4]
Souvent dans ses lettres, Guy Patin a ainsi offert de recommander des plaignants à des juges de sa connaissance. On ne peut savoir si c’était une manière de vanter ses relations bien placées ou de rendre vraiment service. Il en ressort tout de même l’impression que les conseillers du Parlement n’étaient pas insensibles à ces interventions.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.