À Claude II Belin, le 28 juillet 1642
Note [4]
« On dit proverbialement qu’un homme a usé son luminaire, qu’il a perdu son luminaire, quand il a perdu la vue, soit par excés d’étude, ou de débauche » (Furetière).
Phtisie, fièvre, diarrhée et cécité font évoquer divers diagnostics :
La toxicité oculaire d’un des multiples composants de la thériaque pourrait fournir une autre interprétation de cette observation, mais elle est moins plausible.
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