À André Falconet, le 4 novembre 1650
Note [4]
« puisque nos chimistes, tous autant qu’il en existe ici, sont de fort misérables petits hommes, ignorants et illettrés, mendiants calamiteux, vénaux et tombés plus bas que terre ».
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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