À Charles Spon, le 6 mars 1654
Note [4]
« On dit d’une terre usurpée par quelqu’un : ce n’est pas celui à qui elle appartient qui en mange les chapons » (Furetière).
Tout ce paragraphe est absent de la lettre cclvii de Reveillé-Parise, mais s’y lit, quelque peu remanié, dans une lettre (lettre 344) à André Falconet, datée du 20 mars 1654 (ccccxviii, tome iii, pages 24‑26), qu’on trouve pareillement, mais à Charles Spon, dans Bulderen (lxxxi, tome i, pages 224‑227).
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