À Charles Spon, le 8 septembre 1654
Note [4]
Dieu devra leur en être reconnaissant (restera en dette envers eux) : « Nous sommes des serviteurs inutiles, nous avons beau travailler, Dieu ne nous en devra jamais de reste » (Furetière).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.