À Claude II Belin, le 12 octobre 1646
Note [5]
« ils n’ont pas d’homme qui en soit capable ».
Quoi qu’en pût dire Guy Patin, le Gazetier dont il continuait à se moquer, Théophraste Renaudot, était homme à pouvoir éclabousser de son encre les meilleures plumes de la Faculté de médecine de Paris : les quelques extraits de ses pamphlets que j’ai donnés prouvent amplement son talent polémique (v. notes [8] et [11], lettre 57, [9] de la lettre 96, et [68] de L’ultime procès de Théophraste Renaudot…) ; mais Renaudot, qui avait avivé la querelle, s’il était gradué de Montpellier, vivait désormais à Paris et avait été réduit au silence par la Faculté qui tenait ses deux fils en otages.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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