À André Falconet, le 16 août 1647
Note [5]
« Si Dieu me prête vie ». V. note [6], lettre 143, pour le procès des apothicaires de Paris perdu contre Guy Patin.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.