À Charles Spon, le 14 juin 1650
Note [5]
« On dit proverbialement “ au plus larron la bourse ” quand on confie son argent à une personne infidèle, par allusion à ce qui est dit dans l’Écriture, que Judas [v. note [2] de l’Introduction au Borboniana manuscrit] gardait la bourse et cependant était un larron » (Furetière).
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