À Charles Spon, le 26 juillet 1650
Note [5]
« qui peut-être concernent plutôt la mort elle-même que sa victime. »
V. note [54‑1] du Faux Patiniana II‑1 pour la reprise de ce passage dans L’Esprit de Guy Patin, avec un complément original sur l’inanité des pompes funèbres.
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