À Claude II Belin, le 11 mars 1652
Note [5]
« ces choses-là ne sont que pures sornettes » : imperméable aux nouveautés, Guy Patin signifiait son mépris pour le débat sur les voies du chyle, dont la découverte fut l’un des plus grands progrès médicaux de son siècle.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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