À Claude II Belin, le 24 mai 1653
Note [5]
« pour qu’une autre affection honteuse et pernicieuse ne s’empare de lui, s’il s’attarde ici plus longtemps. » On devine ici que Guy Patin considérait la maladie du jeune Belin comme la conséquence de ses débauches parisiennes.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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