À Charles Spon, le 15 décembre 1654
Note [5]
Trêve « se dit en matière de douleurs quand on y sent quelque allègement, quelque relâche. Sa goutte lui a donné quelque trêve dans la belle saison » (Furetière) ; pour dire que Jean ii Riolan, fort asthmatique (dyspnéique), avait moins à lutter pour respirer.
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