À Charles Spon, le 10 août 1657
Note [5]
« et sa propre voix ». L’archevêque-électeur de Cologne, Maximilien-Henri de Bavière (v. note [15], lettre 244), était le cousin germain et non pas l’oncle de Ferdinand-Marie, duc électeur de Bavière : leurs pères respectifs, Albert et Maximilien ier de Bavière étaient en effet les fils aîné et benjamin de Guillaume v, duc électeur de Bavière.
V. note [29], lettre 484, pour le compte des voix catholiques et protestantes de l’élection impériale qui traînait en longueur à Francfort.
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