À André Falconet, le 25 avril 1659
Note [5]
« comme unique témoignage d’une grande œuvre ».
Jusqu’en 1664 (v. note [11], lettre 792) on ne connaissait que des fragments mutilés et sans titre, de simples épisodes détachés du Satyricon, dont l’ensemble est censé représenter 16 livres. Il s’agissait de trois fragments : un premier découvert en 1476 et imprimé à Milan en 1482 ; le Codex Sambucus (de Johannes Sambucus, v. notule {b}, note [89] du Faux Patiniana II‑7), publié à Vienne (1564) et à Anvers (1565) ; et le fragment trouvé par Mathias Corvin, dans un couvent de Bude, en 1587, ou Codex Pithœius (de Pithou).
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