À André Falconet, le 3 juillet 1663
Note [5]
« mais que cela nous soit ou non favorable, qu’il se porte bien et aille donc s’occuper de ses affaires. »
Telle est l’unique et peu flatteuse apparition du médecin lorrain nommé Perrin (prénom inconnu) dans la correspondance de Guy Patin.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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