Autres écrits : Consultations et mémorandums (ms BIU Santé 2007) : 12
Note [5]
Argument des plus spécieux : le malade n’avait pas de symptômes digestifs ; la purge lui avait tout bonnement, et bien naturellement, déclenché une évacuation intestinale ; et Guy Patin s’imaginait que ces matières étaient l’« affreuse ordure » qui, par sympathie, provoquait la mélancolie du patient.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.