De Christiaen Utenbogard, le 21 août 1656
Note [50]
« est la fable qui a préludé à nos affaires » (sans source latine identifiée). Christiaen Utenbogard signifiait ici clairement que les ouvrages parus en 1646 et 1647, sur la dépendance les pouvoirs ecclésiastiques et politiques (v. supra note [43] et [43]), avaient amorcé les disputes qui aboutissaient, en 1656, aux excès despotiques de Gisbertus Voetius et des voétiens.
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