À Charles Spon, le 19 octobre 1655
Note [58]
« dans tous ces atermoiements » ; Guy Patin voulait dire qu’Antoine Vallot avait encore une chance de sauver sa charge de premier médecin du roi. En montrant qu’il n’est pas passé loin de la disgrâce, tout le contenu de cette lettre complète utilement le point de vue fort atténué qu’en a laissé Vallot dans son Journal de la santé du roi.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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