À Claude II Belin, le 5 mai 1638
Note [6]
« vous écartez loin de vos nuques ce joug loyolitique » ; imitation de Cicéron (Pour Milon, chapitre xxviii, § 77) :
Clodium interfeci ; eius furores, quos nullis iam legibus, nullis iudiciis frenare poteramus, hoc ferro et hac dextera a cervicibus vestris reppuli.
[J’ai (dit Milon) tué Clodius ; par ce fer et par cette main, j’ai écarté de vos nuques ses fureurs qu’aucune de nos lois ni aucun de nos juges ne pouvaient plus réprimer].
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