À Claude II Belin, le 20 septembre 1644
Note [6]
L’élection était le « tribunal où les élus [v. note [50], lettre 152] rendent leur justice, où on juge les différends sur les tailles et impôts en première instance » (Furetière). Il faut ici comprendre que l’élection de Paris était chargée de régler la pension promise à Claude i Saumaise pour le convaincre de revenir exercer ses talents en France.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.