À André Falconet, le 29 octobre 1647
Note [6]
« difficiles à compter, tant ils sont nombreux » (Martial).
Ceux à qui Guy Patin comparait ses deux bêtes noires de Montpellier, Siméon Courtaud et Lazare Rivière, avaient tous été docteurs régents de la Faculté de médecine de Paris.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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