À Charles Spon, le 11 mai 1655
Note [6]
Les écoliers de Guy Patin au Collège de France étaient pour la plupart : soit des étudiants parisiens, dont l’absence de protection (népotisme, religion), la cherté des droits annuels d’inscription, ou le niveau exigé pour l’obtention du diplôme (les degrés) forçaient un bon nombre à prendre leur inscription dans d’autres Écoles de médecine (Reims, Rouen, etc.) que celle de Paris ; soit des étrangers qui venaient y parfaire leurs connaissances médicales.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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