« Égypte, en termes de spiritualité, signifie le monde, le monde corrompu et ennemi de Jésus-Christ : sortir de l’Égypte, c’est sortir du monde réellement et effectivement, en se faisant religieux, ou seulement rompre ses mauvais commerces, vivre dans la retraite et dans les exercices d’une vie dévote ; retourner en Égypte, c’est reprendre ses habitudes vicieuses » (Trévoux). Avec « l’Égypte des moines », Guy Patin employait ici l’expression, sciemment et ironiquement, à contresens.

Ni le cordelier Belletille ni sa conversion au calvinisme n’ont laissé d’autre trace que j’aie su trouver.