À André Falconet, le 1er janvier 1666
Note [6]
« Que nul n’en dise rien, c’est le talent de la noire cohorte. » Il faut croire qu’à ses heures perdues, Charles Delorme (v. note [12], lettre 528), dont Guy Patin était alors fort entiché, versifiait en latin (contre les jésuites).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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