À Johann Caspar I Bauhin, le 4 mai 1641
Note [6]
O miseras hominum mentes, o pectora cæca ! [Ô misérables esprits des hommes, ô cœurs aveugles !] (Lucrèce, La Nature des choses, livre ii, vers 14), avec remplacement de miseras par stultas [sots].
V. note [9], lettre 66, pour Deus ipse viderit, qui précède : « Dieu seul sait ce qu’il en adviendra » (Cicéron).
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