À Sebastian Scheffer, le 12 février 1660
Note [6]
Les « Lettres médicales de Baillou » n’ont jamais été imprimées. Bien qu’il eût été son compagnon de licence, Guy Patin répugnait ici à nommer Jacques Thévart, petit-neveu de Guillaume de Baillou et éditeur de ses œuvres (v. note [1], lettre latine 125), l’accablant de méchancetés, dont celle d’être camus, c’est-à-dire pourvu d’un nez court et retroussé (v. note [12], lettre 190).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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