V. notes :

• [1], lettre 51, pour Pierre ii Pithou ;

• [5], lettre 181, pour Pierre Dupuy ;

• [27], lettre 337, pour Edmond Richer et pour son livre « sur la Puissance ecclésiastique et politique » (Paris, 1611), qui fonda le richérisme (prônant la stricte séparation de l’Église et de l’État français, ou gallicanisme).

Faute d’avoir su identifier Jac. Flaccus et sa Dissertation (v. supra, fin de la note [1]), j’ignore le contexte de cette citation qui réveillait dans l’esprit de Guy Patin le souvenir de toutes ces gloires parlementaires, politiques et littéraires, au temps de la Ligue.