De Julien Bineteau, le 8 octobre 1651
Note [6]
« M. Patin s’est vanté de guérir tous ses malades avec la saignée, un lavement de son et du séné en bouillon, ou tisane S.S.S. »
Cette addition marginale de Julien Bineteau (reprise plus bas dans sa lettre) donne raison à Sainte-Beuve pour les « trois S » de Guy Patin (v. note [2] de la consultation 1), bien que le son ne fît guère partie de ses prescriptions ordinaires. Voilà comme se fabriquent les légendes.
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