Annexe : Les deux Vies latines de Jean Héroard,
premier médecin de Louis xiii
Note [61]
On peut comprendre tout et son contraire dans cet inextricable salmigondis latin : ma traduction n’est qu’une interprétation de son propos, où j’ai cru voir une excuse embarrassée des éminents services que Jean Héroard a rendus à l’odieux duc de Joyeuse, ardent massacreur de protestants.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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