À Charles Spon, le 4 décembre 1651
Note [7]
Lapsus calami : il s’agissait du jeudi 30 novembre, et non du 30 décembre qui fut, en 1651, un samedi. L’erreur de mois commise par Guy Patin a mené les précédents éditeurs à emprunter le passage (remanié et mutilé) sur l’affaire Ourly dans une pseudo-lettre, datée du 22 décembre 1651, adressée à Charles Spon pour Bulderen (lxv, tome i, pages 190‑193) et à André Falconet pour Reveillé-Parise (cccii, tome ii, pages 601‑603).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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