À Claude II Belin, le 16 novembre 1652
Note [7]
« mourir de trop de sagesse est une sorte de maladie », Pline l’Ancien (Histoire naturelle, livre vii, chapitre li) :
atque etiam morbus est aliquantisper sapientiam mori[il est jusqu’à une sorte de maladie où l’on meurt de trop de sagesse]. {a}
- V. note [24] d’une thèse de Guy Patin, « L’homme n’est que maladie » (1643) pour le commentaire détaillé de Littré sur la traduction discutée de ce passage de Pline.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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