À Hugues II de Salins, le 14 septembre 1657
Note [7]
« ni jamais au début de la maladie. Dans les affections chroniques, il est permis de diminuer le traitement peu à peu puis de l’augmenter en se tournant vers remèdes vigoureux ; et il en est qu’il faut changer très souvent pour éviter que la nature ne finisse par s’habituer aux remèdes doux » : je ne suis pas certain d’avoir bien compris et traduit ce que voulait dire Guy Patin.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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