À André Falconet, le 23 novembre 1669
Note [7]
La clémence (epieikeia) ; on sent l’amertume de Guy Patin : les galères perpétuelles avaient aussi été la condamnation de son cher Carolus, dont le crime était bien moindre que celui de Pierre Chenard (qui, comme on peut s’en douter, ne figure pas dans l’Index funereus chirurgicorum Parisiensium des chirurgiens de Saint-Côme).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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