À Charles Spon, le 1er février 1672
Note [7]
« pourvu qu’elle prenne le dessus et dure, vous savez ce petit vers populaire : “ Que d’autres mènent les guerres, et marie-toi, heureuse Autriche ! ” » (v. note [4], lettre 869). Guy Patin saluait la naissance d’une princesse (et non d’un prince d’Empire), prénommée Maria Anna Antonie, qui mourut au berceau.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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