À Thomas Bartholin, le 20 juin 1647
Note [7]
Intégralement transcrite, traduite et commentée dans notre édition, la fameuse thèse cardinale de Guy Patin Estne longæ ac iucundæ vitæ tuta certaque parens sobrietas ? [Une sobriété prudente et déterminée n’est-elle pas la mère d’une longue et agréable vie ?] (affirmative, 14 mars 1647) avait rudement malmené les apothicaires de paris : v. note [6], lettre 143, pour le procès qu’ils intentèrent et perdirent ensuite contre lui.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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