À Johann Georg Volckamer, le 10 janvier 1659
Note [7]
« de ces compagnons issus du pétrin de Loyola » (les jésuites) : sociennibus (ablatif pluriel de sociennis) n’est attesté par aucun dictionnaire latin ; c’est une étourderie ou une volonté néologique de Guy Patin qui aurait dû employer sociennis (ablatif pluriel de sociennus) pour dire compagnons. Le « pétrin de Loyola » est un emprunt à Joseph Scaliger (v. note [3], lettre 369).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.