À Johann Theodor Schenck, le 28 février 1669
Note [7]
Le Centre national de la recherche scientifique a publié la Correspondance du père Marin Mersenne en 18 volumes (1932-1988). Son correspondant anglais le plus connu fut Thomas Hobbes (v. note [1], lettre 267). Émule épistolaire de Mersenne, mais dans un tout autre genre, Guy Patin avait dans sa bibliothèque :
Promoteurs du doute universel, les pyrrhoniens étaient les adeptes du philosophe grec Pyrrhon d’Élis (ive‑iiie s. av. J.‑C.) « qui, entre les dogmatiques qui prétendaient qu’il y a une vérité absolue, et les sophistes qui le niaient, voulait que le philosophe s’abstînt » (Littré DLF).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.