À Claude II Belin, le 12 septembre 1646
Note [8]
« pour se gagner les faveurs des pharmaciens ».
Tous ces arguments contre les médecins de Montpellier, et plus généralement « étrangers » (gradués par une autre université que celle de Paris), se retrouvent dans les libelles que la Faculté de médecine de Paris publiait contre Théophraste Renaudot et ses « adhérents », et auxquels Guy Patin prêtait bien volontiers son anonyme plume (non sans être parfois démasqué par ses adversaires).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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