À Charles Spon, le 24 mai 1650
Note [8]
Il se confirme ici que Guy Patin vendait clandestinement les Opera de Daniel Sennert qui venaient d’être imprimées à Lyon, sur le dos des libraires parisiens qui en détenaient encore le privilège. (v. note [12], lettre 227).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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