À André Falconet, le 12 juillet 1661
Note [8]
« qui, tout imprégnée d’esprit loyolitique, a soin de ses affaires propres et privées, celles des autres étant mises au second rang. Nul ne se soucie du bien public ». Le confesseur du roi était alors le P. François Annat (v. note [15], lettre 295) ; il prêtait en effet plus d’attention aux frasques galantes de son pénitent qu’aux misères du peuple de France (v. note [4], lettre 664).
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