À André Falconet, le 1er juin 1663
Note [8]
« ce que disait cet homme épuisé dans Pétrone : {a} “ Crois-moi, frère, je ne sens plus que je suis un homme ; je n’y comprends rien. Elle est morte, cette partie de mon corps qui jadis faisait de moi un Achille. ” »
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