À André Falconet, le 17 septembre 1670
Note [8]
« pendant ce temps, le juste souffre » (v. note [44], lettre 176). Nicolas Fouquet connut un adoucissement progressif de sa détention, mais finit ses jours à Pignerol le 23 mars 1680, sur le point, semble-t-il, d’être libéré.
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