À Sebastian Scheffer, le 3 novembre 1667
Note [8]
Plaisant aveu de Guy Patin, après les hauts cris qu’il a poussés dans sa lettre du 7 septembre 1667 à Johann Daniel Horst (v. sa note [1]) quand il vilipendait les libraires parisiens l’accusant d’exercer clandestinement leur profession (comme il le faisait effectivement avec son fils Charles, v. les Déboires de Carolus).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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