À Charles Spon, le 18 novembre 1650
Note [9]
V. note [6], lettre 249, pour le transfert des trois princes au Havre.
La Couronne devait se garantir une emprise absolue sur la place, ce qui donnait à Mme d’Aiguillon une double occasion de morfondre son désobéissant neveu, le duc de Richelieu, en le privant et de son gouvernement du Havre et de son généralat des galères (qui ne fut que suspendu puisqu’il le conserva jusqu’en 1661, v. note [4], lettre 703).
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