À André Falconet, le 7 octobre 1664
Note [9]
« On dit rompre l’anguille au genou pour se moquer des gens qui prennent une manière de faire quelque affaire qui n’est pas propre pour y réussir. On disait autrefois rompre l’andouille au genou, dans le même sens » (Furetière). L’anguille est souple et glisse des mains, il est impossible de la rompre sur son genou, comme on fait d’un bâton.
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