[Universitätsbibliothek Basel, cote G2 I 9:Bl., page 53 ro‑vo | LAT | IMG]
Très éminent et très distingué Monsieur, [a][1]
Je vous écris de nouveau, par l’intermédiaire de M. Chenaure, marchand de Bâle, votre ami et voisin, [2] qui m’a remis votre lettre, dont je vous remercie beaucoup. Par le même intermédiaire, je vous envoie le livre de notre commun ami, le très distingué Caspar Hofmann, de Medicamentis officinalibus, qui a été publié grâce à mes soins et à mon zèle, et qu’il m’a dédié. [1][3] Recevez-le, je vous prie, avec le même plaisir que je vous l’offre. Vale, très distingué Monsieur, et aimez-moi s’il vous plaît.
De Paris, ce mercredi 28e de novembre 1646.
Vôtre de tout cœur, Guy Patin, docteur en médecine de Paris.
On va publier ici d’autres opuscules de Caspar Hofmann ; je vous les enverrai aussi quand l’édition en sera achevée. [2][4] Vale, très distingué Monsieur, et veuillez pardonner l’extrême précipitation de ma lettre.